Il n'y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour l'obtenir. | Période jouée; post-septième année alternative.
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| | | t'es cape, pas cape de te rouler dans la boue ! |  |
| | | Auteur | Message |
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Willow J. O'Connor
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| | Sujet: t'es cape, pas cape de te rouler dans la boue ! Ven 9 Juil - 19:03 | |
| « Merci et bonne journée ! » retenti la voix de la vendeuse en adressant des signes de mains à la demoiselle qui poussait la porte de la boutique.
Y’en à qui allaient être heureux, car avec tout ce qu’elle avait prit il y avait de quoi nourrir tout un régiment de sénégalais. (Pas de consonances raciste.) En espérant qu’avec tout ça les premières années la laisserait tranquille la prochaine fois qu’elle se rendrait à Prés-au-lard. Elle voulait bien être gentille et rendre des services, mais il y avait certaine limite, elle n’était pas coursier après tout. Quoique étant donné tous les allers-retours qu’elle faisait entre l’école et Poudlard elle aurait pu ramasser un sacré petit pactole si elle avait imposé un prix pour la course, de cette manière cela aurait en quelque sorte compensé sa lassitude. Enfin, ce n’était pas vraiment son genre de piquer les sous des mômes, mais il y avait des fois ou ça la démangeait vraiment. Courir tout le temps chez Honeydukes, c’en était vraiment fatiguant ! Puis d’un côté, y’avait plein d’autre personnes qui pouvaient leur rendre ce services, elle n’était certainement pas la seule de tout Poudlard à avoir l’accès à Prés-au-lard tout de même ! Oh et puis zut, si elle les avaient envoyé chier des le début ils lui aurait foutu la paix… quoique de la part d’une préfète c’était pas vraiment responsable.
Willow tassa ses achats dans son sac et continua de remontre vers les trois balais dans lequel elle ne rentrerai sans doute pas. Y’avait trop de bruit s’était atroce, et ce n’est quand arrivant au tournant d’une autre route qui descendait vers un petit bosquet d’arbres qu’elle décida de ce rendre jusqu’à la cabane hurlante. La plus célèbre maison hantée de Grande Bretagne… C’était amusant, d’autant plus que cette vieille ruine n’avait plus fait un bruit depuis maintenant une bonne Vingtaine d’année. Néanmoins il était intéressant de voir à quel point les légendes urbaines pouvaient perdurer, 100 ans voire 1000 ans après. Enfin, c’était tout de même une bonne attraction pour tous les jeunes étudiants qui venaient pour la première fois à prés-au-lard et qui voulaient tester leur courage. D’un côté ils se faisaient des frayeurs montres, et de l’autre ce genre d’activité entretenait le mythe et par ailleurs la célébrité du lieux.
La Serdaigle continua de flâner en traversant le bois tout en scrutant les point lumineux qui filtrait au travers des feuillages des arbres, sur un petit air de Jazz. Ce n’est que lorsqu’elle reporta ces yeux sur le chemin, qu’elle aperçût devant la barrière qui séparait le chemin du jardin de la cabane hurlante, qui ressemblait d’avantage à la jungle, une silhouette qui lui était assez familière. Un petit sourire s’afficha sur les lèvre de la demoiselle, qui continua de s’avancer jusqu'à ce trouver à moins de 2 mètre de sa camarade répondant au doux prénom de Soledad l’excité.
« Je paris que tu n’as même pas assez de cran pour y aller. » Lança Willow sur un ton qui mélangeait défis et amusement.
Elle laissa tomber son sac par terre dans un bruit sourd de papier froissé et fourra les mains dans ces poches.
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| | | | Soledad L. Matanza
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| | Sujet: Re: t'es cape, pas cape de te rouler dans la boue ! Dim 11 Juil - 13:31 | |
| Près au Lard, c'était plus ce que c'était décidément. Des rues vides et mornes, plus un rire joyeux, plus de sourire sur le visage des gens. Juste des ombres qui entraient et sortaient furtivement d'un bâtiment à un autre. Soledad, prise d'une crise de solitude qui faisait enfin honneur à son nom déambulait dans ces rues vide de vie en soufflant des nuages de buées.
Elle resserra son écharpe autour d'elle et plongea les mains dans ses poches. Elle commençait à se lasser de cette situation plus qu'opprimante envers tout et tout le monde. Bientôt, même les arbres seraient vus comme impurs qu'ils ne poussaient pas droit. On ne s'amusait plus à Poudlard. Heureusement que les sessions de l'AD l'occupaient et lui donnaient envie de rester, sinon, elle aurait déserté depuis un moment.
Puis, se secouant mentalement, elle décida de se reprendre. Soledad Lola Artémis Matanza ne pouvait pas déprimer ! Qui rirait à gorge déployée dans la grande salle ? Qui ferait des batailles de boue ? Personne. Comme pour se donner raison, elle prit le chemin de la cabane hurlante. Elle n'avait jamais tenté de braver les peurs et les mythes qui l'entourait. Pas qu'elle ait peur, il lui fallait plus qu'une barraque en bois qui n'avait pas hurlé depuis plus de vingt ans pour lui faire peur, mais l'occasion se s'était jamais présentée.
Perdue dans ses pensées (si elle y allait, il lui fallait un témoin, sinon, l'exploit perdait de sa valeur !), elle n'entendit pas Willow arriver.
« Je paris que tu n’as même pas assez de cran pour y aller. »
Soledad ne susauta pas, et se tourna vers la jeune fille un grand sourire sur les lèvres. Elle tenait son témoin ! La bleue était chargée de sac de bonbons qu'elle lâcha brutalement à terre. Sol combla distance qui les séparé et se servit dans le sac.
« Je me permets, un de plus, un de moins, tu verras pas la différence. Tu envisage d'hiberner et de faire comme les ours, ta réserve de graisse pour l'hiver ? » demanda-t-elle un grand sourire aux lèvres.
Soledad appréciait Willow, parce qu'elles avaient des idées similaires sur bon nombres de sujets et surtout parce qu'elle la savait intègre et juste -et parce qu'elle l'avait couverte une fois alors qu'elle avait bravé le couvre feu. Pourtant, sans cette rencontre, jamais elle ne serait jamais aller parler à la jeune femme. Puis, elle revint sur la première question de Willow. Elle lui adressa un sourire lumineux, des yeux pétillants.
« On parie tes sacs de bonbons que si. »
Et sans attendre de réponse, elle se retourna. Elle sauta par dessus la barrière et s'approcha sans vraiment de crainte de la maison. Le vent choisi ce moment pour recommencer à souffler, faisant grincer le bois de la maison. Soledad sentit qu'elle commençait à ralentir. Elle sortit sa baguette de sa poche et la serra fort avant de se retrouver devant la porte de la maison hantée.
Elle marqua un temps d'hésiation et posa sa main sur la poignée. Elle la tourna et la porte s'ouvrit dans un grincement sinistre. Mais elle devait avouer qu'elle n'avait pas le cran d'entrer toute seule dedans. Elle se tourna vers Willow et lui lança.
« Une visite, ça te tente ? »
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| | | | Bluenn J. McCain
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| | Sujet: Re: t'es cape, pas cape de te rouler dans la boue ! Mer 28 Juil - 10:14 | |
| HJ: Désolé du temps de réponse mais je voyais vraiment pas comment m'inscruster là dedans x) Il était temps de revenir à Pré-au-Lard; la trousse à maquillage de Bluenn se faisait de plus en plus vide et le seul remède contre cette pénurie semblait être l'achat de nouveaux produits. La Verte et Argent attendit donc la prochaine sortie au village avec impatience, et prépara sa bourse avec minution; elle compta inlassablement gallions mornilles et noises afin d'être sûre d'avoir assez pour faire son tour quotidien dans les diverses boutiques magiques. Mais Blue, qui avait des amies assez riches - comme Megan pour ne citer personne - n'hésitaient pas à user de subtilité pour se faire payer sa bieraubeurre sans que l'on ne découvre chez elle une once de pauvreté  . Megan et Bluenn s'armèrent alors de leur bourse, sac et autres accessoires et partirent à l'assaut de Pré-au-Lard. Elles s'arrêtèrent en premier lieu chez Gaichiffon pour acheter une paire de chaussures en écaille de dragon dont la blondinette rêvait depuis quelques mois déjà. L'article était enfin soldé et la fillette pouvait désormais se payer cette folie sans avoir peur de se ruiner pour des années à venir. Trop heureuse et fière de son achat pour le quitter de ses bras, les deux sorcières décidèrent d'aller se poser au Trois Balais pour discuter un peu, se moquer des clients, rire un bon coup et se réhydrater de bièraubeurre. Mais le temps passait inlassablement et il serait bientôt l'heure de rentrer au château ! Les deux vipères quittèrent alors le bar au pas de course, sans oublier d'engager un pauvre poufsouffle de troisième année pour porter leurs achats. Dans un premier temps, le malheureux refusa, mais les deux garces usèrent de telles menaces que le blaireau n'eut qu'autre choix d'accepter d'être leur esclave pour la journée. Ricanant de plus belle, elles s'arrêtèrent chez Zonko où elles achetèrent un incroyable stock de farces et attrapes en tout genre dont elles raffolaient, ainsi qu'un petit saut chez Honeydukes pour leur soirée entre filles. Puis, Blue ne sait comment, les deux vipères finirent par se séparer, léchant toutes deux des vitrines différentes (image, bien sûr). Puis, le regard de la blonde s'attarda vers la Cabane Hurlante... Au loin, elle aperçut clairement Matanza et O'Connor discuitailler devant ses grilles. En quête de ragots et prise d'une soudaine envie querelleuse, la jeune McCain alla à leur rencontre. « Une visite, ça te tente ? » réussit à entendre Blue, avant de surgir devant les deux autres jeunes filles armée d'un rire tonitruant: - Oh oui ! Je vous en prie, allez visiter cette cabane et faites vous bouffer par la créature qu'elle abrite ! Qu'on soit enfin débarrasser de vous ! lança Blue tout en levant les yeux au ciel, rêvant à cette perspective. | |
| | | | Willow J. O'Connor
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| | Sujet: Re: t'es cape, pas cape de te rouler dans la boue ! Jeu 29 Juil - 17:15 | |
| La jaune semblait ravis d’avoir de la compagnie, ce qui était pour ainsi dire pas vraiment surprenant dans le sens ou elle était toujours contente de voire tout le monde, à quelques exception près bien entendu. C’était d’ailleurs l’une des nombreuse raison pour laquelle Willow l’appréciée, bien que sa vivacité permanente n’eu tôt fait de la fatiguer.
La jeune femme ne cilla guère lorsque Soledad se rapprochât d’elle et se permis de prendre un bonbon dans l’un des nombreux sachets que contenait le sac. De toute manière cela ne la dérangeait pas dans le sens où ce n’était pas les siens et qu’elle était loin d’être radine. Puis, comme elle venait de le dire, ce n’était pas un de moins qui allait faire la différence.
«J’aimerais bien, comme ça je n’aurais plus à te courir après pour te couvrir dès que tu fait une bêtise. » répondît-elle en souriant à son tour, certaine que Sol n’était pas de ce genre de personne qui prenne la mouche pour un rien.
Ce n’est qu’alors que la pouffy revint sur la question Alpha avec une rapidité qui en dérouterait certainement plus d’un. Soit c’était l’envie de réaliser une autre connerie qui dicta à Soledad de relever le défi de sa comparse, soit c’était l’influence d’une aussi grande quantité de sucreries qui lui donnait l’envie de montrer ce qu’elle avait dans le ventre, donc dans l’immédiat un grand trou. Mais en réfléchissant un peu plus, cela ne devait sans doute pas être pour rien qu’elle se trouvait devant la Cabane Hurlante ; elle devait surement réfléchir à ce qu’elle pourrait dire au autres étudiants si elle décidait de relever le défis.
« Dans un sens je ne t’aurais pas dit non, mais dans la mesure ou ces colis ne sont pas pour moi, je ne peux que te proposer d’aller boire quelque chose au trois Balais. »
Elle s’avait très bien de quoi était capable la demoiselle, hors parié tout ces Bonbons n’était sans doute pas vraiment conseillé, surtout que Willow se devrait de tout racheter et son porte monnaie n’était pas un gouffre sans fond, malheureusement d’ailleurs.
Soledad n’avait pas attendu la réponse, qu’elle avait déjà franchit la barrière et se bâtait avec des branches d’arbres, que le temps hivernal avait recouvert d’une fine couche de neige. La Serdaigle c’était alors rapprocher de la grille et regardait, les mains dans les poches et le visage enfouit dans une large écharpe de laine, la jeune femme qui continuait courageusement son ascension vers la porte, dont elle finit par en saisir la poignet, après une nette hésitation.
« Une visite, ça te tente ? »
Liloo ne put réprimer un sourire, en constatant qu’elle n’avait pas autant de tripe qu’elle imaginait. Il était vrai que la cabane n’inspirait qu’une menaçante présence, mais ce n’était qu’une légende, normalement. Elle s’apprêtait à franchir la barrière lorsqu’un boulet de canon blond et bruyant fit son apparition.
- Oh oui ! Je vous en prie, allez visiter cette cabane et faites vous bouffer par la créature qu'elle abrite ! Qu'on soit enfin débarrassé de vous !
La sorcière se retourna alors et se mit à fixer la nouvelle arrivante d’un air peu avenant, bien qu’elle n’ai rien contre l’incrustation de Blue.
« Tiens, Blue, je te croyais en train de lécher les vitrines » Lança t’elle à son tour en continuant de la fixer pour capter chaque expression de son visage. « Je vais pas te contredire, mais je pense que la dit monstre ne voudrait pas manger deux carnes comme Matenza et moi. Hein Sol ?! » Finit elle par crier à sa camarade qui attendait comme un gland devant la porte.
Après un sourire compatissant, miss O’connor escalada le muret fit quelque pas dans la neige avant de se retourner de nouveaux vers la Serpentard.
« Tu veux peut être venir avec nous, Blue ? » | |
| | | | Soledad L. Matanza
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| | Sujet: Re: t'es cape, pas cape de te rouler dans la boue ! Mer 11 Aoû - 5:50 | |
| L'échange avec Willow tourna à la joute verbale amicale. Elle accepta avec plaisir l'invitation aux Trois balais, sans se formaliser plus que ça de voir les sacs remplis de bonbons lui passer sous le nez. Les elfes de maison étaient bien trop gentils et naïfs et ils ne disaient jamais non quand il s'agissait de la nourrir. Elle haussa donc les épaules et offrit un grand sourire à Willow.
Mais arrivée devant la maison, la jaune sentit sa résolution flanchir. Elle ne pouvait pas vraiment expliquer le sentiment qui l'envahissait, mais entrer seule dans la maison l'effrayait un peu, certes, mais... il y avait autre chose, qu'elle n'arrivait pas à s'expliquer. Si la Cabane n'avait pas poussé un cri depuis des années, les rumeurs et histoires qui courraient à son sujet restaient tout de même efficace. Attendant une éventuelle réponse de la bleue, Soledad ne vit pas la nouvelle personne qui arrivait.
-Oh oui ! Je vous en prie, allez visiter cette cabane et faites vous bouffer par la créature qu'elle abrite ! Qu'on soit enfin débarrasser de vous !
Soledad n'eut pas besoin de réfléchir pour comprendre à qui appartenait cette fois : Bluenn McCaine, une verte qui essayer de la faire flancher par tout les moyens, qui repartait bredouille à chaque fois. Il en fallait beaucoup pour mettre Sol en colère, et les tentatives de la verte était plus drôles et stupides que vraiment concluantes. Elle n'eut pas le temps de réponde, que Willow s'en était chargée; et vint la rejoindre.
Sol lui adressa un sourire pour la remercier, mais ne put s'empêcher de murmurer : « tu aurais pu éviter le mot carne quand même... », sur un ton qui montrait plus son soulagement de la voir à ses côtés. Puis elle prit la parole plus fort pour que Blue l'entende.
« Ne propose pas ce genre de chose à McCain, elle parle beaucoup mais agit peu. C'est ce qui la caractérise, elle n'a pas de courage... Alors lui proposer d'entrer dedans, alors qu'une hypothétique bête légendaire pourrait la manger.... »
Soledad n'aimait pas la provocation facile, mais la situation promettait d'être divertissante, et pour rien au monde, la jaune se serait passer de divertissement. A ce même moment, le vent se mit à souffler avec violence, les premiers éclairs zébrèrent le ciel et la pluie se mit à tomber, comme une invitation à s'abriter dans la Cabane.
[désolée, c'est court et sûrement bourré de faute, je profite d'être seule pour squatter le PC ]
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