WYNDFOR, LIVIA ♠ L'intérêt est la règle de la prudence.

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LIVIA HELINDE WYNDFOR ”

Ici, ta tête, ou celle de ton chien, de ta soeur, les paroles d'une chanson, ou la marque de ton dentier.

"La peur d’un nom ne fait qu’accroître la peur de la chose elle-même."

WYNDFOR, LIVIA ♠ L'intérêt est la règle de la prudence. 29pchzs

nom, prénom —

date de naissance —

âge —

lieu de naissance —

nationalité —

sexe —

richesse —

état civil —

sang —

"Les humains ont un don pour désirer ce qui leur fait le plus de mal."

emploi —

participation à la Grande Guerre —

grade —

réaction face à la victoire de Lord Voldemort —

"J’ai la conviction que la vérité est généralement préférable au mensonge."

célébrité de l'avatar —

Invité

BIOGRAPHY.
"Les plus forts resteront toujours au sommet."

Aussi loin que cela puisse remonter, Zéphyr et Perséphone Malefoy avaient toujours désiré obtenir un fils pour avoir leur propre branche familiale. On en ignorait la raison, mais ils peinèrent durant de longues années à avoir des enfants. Ce fut au bout de six ans de mariage qu'ils purent accueillir une fille, qu'ils prénommèrent sobrement Jeanne. Deux ans plus tard, seconde déception pour le couple, et surtout pour Zéphyr, qui vit rouge. Très rouge. Son épouse mit au monde une benjamine d'héritière, si bien qu'il ne prit pas la peine de jeter un regard au poupon à sa naissance, qui se fit prénommer Livia, Helinde de son second prénom.

Jusque les sept ans de la cadette, Perséphone, Jeanne et Livia ne posèrent pas un bout de leurs souliers à la demeure de Zéphyr. Née au charmant manoir de la richissime famille Harel, celle de sa mère, et passant une partie de son enfance en cet endroit, elle s'y épanouie, néanmoins. Sa mère appelait sans cesse des précepteurs de qualités pour venir lui enseigner diverses matières avec son aînée, si bien que cette dernière se retrouva rapidement éclipsée par une jeune soeur plus brillante et plus enthousiasmée par le travail qu'elle. « Je suis la meilleure, l'unique, la plus grande. La mieux adaptée pour être la plus aimée. » Secrètement, Livia l'entendait. Elle voyait souvent cette jeune fille jalouse, qu'on pouvait apercevoir dans sa chambre grâce à une porte entrouverte en train de se tourmenter en toute la splendeur de sa solitude, s'agrippant à ses cheveux, regardant le ciel d'un air troublé et taper du pied pour se rassurer et déferler sa colère sur le sol ainsi que sur les murs. Lorsqu'elle retournait dans ses propres quartiers, la fillette pouvait également entendre Jeanne se lamenter dans son sommeil, sangloter avant de s'endormir. Bouger et se lever, se rallonger et de nouveau marmonner.
Lorsque Lady Flemming complimentait Livia pour son talent de pianiste, Jeanne lui lançait un regard empli d'acidité et de frustration, tandis que Perséphone se ruait à l'encontre de Livia pour la couver de ses yeux noisettes et tendres, tout en se tournant vers Jeanne en enfonçant inconsciemment le couteau dans la plaie : « Toi et le violon, ma grande ! Nous devrions t'entendre davantage jouer. Même ta soeur prend plus de plaisir à exercer ses loisirs. » Et elle gloussait, repartant vers la cuisine avec allégresse pour ordonner à l'elfe de maison d'offrir une petite récompense culinaire à Livia.

Ce fut pire lors de la veille du septième anniversaire de Livia. Un jour éprouvant et extraordinaire à la fois : pour la première fois depuis qu'elle avait vu la lumière du jour, elle allait enfin rencontrer son père, qui en avait tellement voulu à Perséphone de ne pas lui avoir donner un garçon qu'il s'était séparé d'elle durant ces quelques années. Il avait décidé de rendre visite à ses filles et à sa femme, un beau jour d'hiver où des flocons de neige tombaient sur le sol avec simplicité.
Elle se souvenait parfaitement de cette journée. Son père était arrivé aux alentours du déjeuner, mettant sa mère dans un état d'inquiétude certain, parce qu'elle le craignait. En arrivant, ils n'avaient pas accordé de l'importance à Jeanne, qu'il avait déjà rencontré. Il s'était directement dirigé vers la petite dernière, l'observant attentivement mais discrètement, lui demandant ce qu'elle savait et ne savait pas faire, l'interrogeant sur ses journées et ses précepteurs. Si bien que les yeux de Jeanne s'étaient embués de larmes : elle s'était enfuie de table, montant dans sa chambre à grands bruits, sous les regards interloqués de sa famille.

Malgré l'incident qui avait perturbé cette journée, Zéphyr, relativement satisfait de l'accomplissement et de la maturité de ses filles, prit la décision de faire retourner les trois femmes de sa vie à la seconde et majestueuse propriété des Malefoy. Le manoir, richement garni mais confortable, changea l'enjouée Livia et l'instable Jeanne. La première découvrit une demeure plus sombre mais qui possédait une petite bibliothèque des plus intéressantes, aux ouvrages obscurs, tandis que la seconde ne disait plus un seul mot, si ce n'était que pour les formalités. Jeanne entra à Poudlard, répartie chez les verts et argents, au plus grand soulagement de leur père qui n'espérait que ça.
Deux ans plus tard, ce fut au tour de Livia d'y entrer. Elle rejoignit également la prestigieuse maison de Salazar Serpentard. Ses études furent un véritable succès : ses notes frôlaient l'excellence, son comportement était suffisamment plaisant aux yeux de ses professeurs et elle obtenue ses BUSE et ses ASPIC avec de bonnes mentions. Ce fut une élève aux fréquentations diverses, malgré qu'elle privilégiait le fait d'avoir des proches de sangs-purs. Ses idées se forgèrent, tandis que la guerre était éminente quand elle termina sa septième année à Poudlard. Retournant au manoir familial, Livia se heurta à son père... une nouvelle fois. Lui, géniteur si fier de sa dernière progéniture qui avait répondu au final à ses attentes, lui, qui au final, l'adorait tellement qu'il n'était pas prêt à la laisser poursuivre une moitié de sa propre voix. Il lui proposa, en échange de la plus grande liberté qu'il puisse lui offrir... un mariage. Pas avec n'importe qui : Arès Wyndfor. C'était un jeune homme du même âge qu'elle, qui avait étudié chez les Gryffondor. Observatrice comme elle était, elle avait auparavant remarqué qu'il lui manifestait un grand intérêt, mais que face à la fierté de la jeune femme, il avait lâché prise. Il avait été un élève indiscipliné, qu'elle considérait comme une personne qui avait une arrogance hors du commun, mais... pour fichtrement rien. « Les Wyndfor sont extrêmement riches et ont le sang-pur, ils partagent aussi notre avis sur la pureté du sang. Puis ils comptent offrir un manoir qui possède un jardin vaste et magnifique à leurs fils dès qu'il se mariera, ce qui te donne une très bonne occasion, car je suis sûr que cet endroit te plaira. » Elle accepta alors : après tout, avait-elle le choix ? Et Livia était certaine que son promis ne la malmènerait pas.

Elle devint donc la nouvelle Mrs Wyndfor lors d'une cérémonie fastueuse, où les invités furent nombreux, malgré ces temps sombres. Jeanne, quand à elle, s'était enfuie avec son unique amour au sang mêlé pour mener une vie paisible à Londres et ne donna plus de ses nouvelles à ses parents où à sa soeur par la suite, sans doute soulagée de ne plus à avoir à répondre à des attentes qu'elle répugnait d'accomplir. L'idée de fréquenter sa benjamine était désormais une idée absurde pour Jeanne.
Livia, cependant, était heureuse. Certes, mariée, mais libre et profitant d'une indépendance glorieuse. Si elle s'était attendue à mépriser son époux, elle s'éprit d'Arès peu de temps après. Il la couvrait sans cesse de cadeaux somptueux, s'adaptant à son tempérament affirmé et éprouvant une tendresse évidente envers elle afin de lui prouver qu'il lui resterait fidèle. Livia, quand à elle, se délectait comme l'avait prédit son père du beau domaine offert à son compagnon et de l'extravagance du manoir, obtenant également un emploi au ministère.
Arès et Livia rejoignirent pendant ce temps là les rangs du Seigneur des Ténèbres, par convictions, un mois avant la chute de celui-ci, causée par le fils Potter.
Nombreux furent ceux qui se firent incarcérer à Azkaban... pourtant, le couple Wyndfor y échappèrent : ils avaient été des recrues récentes, de ce fait, on ne connaissait pas leurs visages comme étant des Mangemorts. Un simple sort d'illusion pour dissimuler leur tatouage sur leur avant-bras, rien de plus facile. Si Arès devint plus réservé à la mort du Lord, Livia prit définitivement son envol professionnel : ses talents de diplomate et son grand charisme la firent gravir les échelons du métier, si bien qu'elle devint ambassadrice au Département de la coopération magique à l'âge de trente-deux ans.

Son existence fut des plus mornes hormis lorsqu'elle travaillait : le travail était pour elle un grand refuge, où elle pouvait briller quand elle le voulait. Elle avait le monde à ses pieds, était devenue une sorcière respectée et la mort de son père, un Malefoy, et de sa mère, une née Harel, firent qu'elle hérita de l'entièreté des biens des deux familles, héritant aussi de deux fortunes considérables de ses parents. Jeanne ayant coupé les ponts avec eux, n'hérita de rien mais eut l'occasion de recroiser Livia au Chemin de Traverse. Livia, encore rancunière, refusa obstinément de lui adresser la parole et de reconnaître son aînée en tant que soeur. Cette dernière était mariée et avait un fils... contrairement à Livia, qui n'avait toujours pas su donner un enfant à Arès, qui bien que toujours amoureux de sa femme, la jalousait pour son succès. Il fut en proie d'une grande déception lorsqu'elle lui annonça qu'elle renoncerait à avoir un quelconque enfant, et qu'un Médicomage lui avait officiellement confirmé qu'elle était stérile. Elle, malheureuse ? Même pas : elle avait tout pour elle.
Mais l'été 1995 changea ce quotidien, qui semblait beaucoup plus affreux pour Arès que pour Livia... ce fut un soir d'été. Les deux époux étaient attablés au salon plus intimiste du second étage : un feu agréable brûlait dans l'âtre de la cheminée, tandis que l'elfe de maison emplissait deux gobelets dorés de vin français, les posant ensuite délicatement sur la table. Elle fut la première à poser la main sur son gobelet afin d'y déguster le vin, quand brusquement, elle avait ressenti une douleur vive à l'endroit même de sa... marque. Non. Etait-ce possible ? Après treize ans de calme ? Treize longues années de vide ? Son regard avait croisé celui d'Arès, qui s'était immédiatement levé, ses pupilles éclairées d'une lueur excitée. « Il est revenu. On doit transplaner. » Livia avait longuement hésité, persistant à croire que ce n'était peut-être qu'une impression fausse, qu'ils se trompaient très certainement.
Néanmoins, ils transplanèrent par curiosité et par envie de savoir si le Seigneur des Ténèbres était bel et bien de retour. Cette soirée fut concluante : ils retrouvèrent de nombreux camarades qu'ils n'avaient plus revus depuis longtemps, car beaucoup s'étaient cachés... hormis Lucius, son très cher cousin qu'elle continuait à côtoyer, ou encore Macnair, le bourreau qui travaillait au compte du ministère et qu'elle croisait souvent. Elle découvrit également que le lamentable Pettigrow avait contribué au retour de leur maître et qu'il n'était pas mort comme il l'avait été dit des années auparavant.

Ils revinrent donc vers le Lord Noir, qui leur pardonna plus vite qu'ils n'auraient pu l'espérer. Arès retrouva l'entrain et la bonne humeur, satisfait de pouvoir redevenir l'homme d'action qu'il était avant, tandis que Livia fit partie des employés du ministère qui récoltaient des informations pour le Seigneur. Plus les mois passaient, plus la situation s'envenimait... et ce fut à la fin de l'année 1996 que le monde entier fut au courant du retour de Lord Voldemort en personne. Des familles fuyaient les terres anglaises, tandis que d'autres restaient pour se rebeller.
Et si tout se déroulait bien et que les évènement se succédaient comme il le fallait, et que Livia participait activement à cette seconde guerre, ce ne fut pas le cas pour son mari aux accents impulsifs prononcés... en juillet 1997, alors qu'ils se préparaient à une embuscade aérienne pour coincer Potter et ces sorciers de l'Ordre du Phénix qui le protégeaient afin de le faire quitter son domicile en toute sécurité, Livia se porta volontaire pour y participer. « Je te suis. Si jamais il t'arrivait quelque chose, Livia... » Arès s'était décidé à la suivre, confiant. « Arrête ça. On sait tous que tu es aussi prêt de savoir voler sur un balai et te battre en même temps que de savoir mettre ta cravate correctement. » avait-elle répliqué, cinglante. C'était vrai. Il avait toujours été piètre lorsqu'il s'agissait de voler sur un balai, alors qu'elle, avait été poursuiveuse dans l'équipe de Quidditch de sa maison lorsqu'elle était à Poudlard et avait été une excellente joueuse, d'ailleurs. Mais il était trop déterminé pour revenir sur sa décision. Une fois sur place, la bataille fut acharnée : leurs adversaires avaient eu un plan ingénieux. Sept Potter sur balais et Sombrals. Cependant, on l'avait averti que le jeune brun était un adepte de l'Expelliarmus et qu'il allait s'en servir à quatre-vingt pour cents des cas... ce qui se fit. Tandis qu'un de ses maléfices percutaient le vieux Maugrey Fol Oeil et qu'il tombait de son balai, elle entendit la voix si familière de son époux s'écrier : « C'est lui, c'est lui, le vrai ! » Arès pointait son doigt vers la gigantesque moto volante conduite par Hagrid. Elle vint immédiatement à la rescousse, levant sa baguette magique vers le géant et lançant un Avada Kedavra en sa direction. Le jet de lumière vert se termina néanmoins dans le vide et elle poussait un violent juron : elle devait absolument éliminer Hagrid pour pouvoir capturer Potter vivant et l'amener au Seigneur des Ténèbres. Apparemment, Arès avait la même idée en tête. Mais ce fut brusque. Un éclair bleu percuta le balai d'Arès, qui se brisa en milles morceaux... la scène tourna au ralenti. Tandis qu'un Stupéfix la frôlait, elle le vit tomber dans une chute interminable, les yeux écarquillés par la terreur. « Arès ! NON ! » Elle plongea en piquet pour tenter de la rattraper, mais c'était inutile : il était déjà bien trop loin, si bien qu'il était devenu un minuscule point sombre. « Livia ! Reviens, ton mari est mort. Il est trop tard. » Yaxley la rejoignit, son regard rivé vers la même direction qu'elle.
Ainsi mourut celui qui avait été son compagnon durant quasiment dix-huit ans, celui qui lui était resté fidèle malgré qu'elle l'avait rendu inévitablement jaloux et qu'elle avait déçu de nombreuses fois. Il n'eut guère le droit à un enterrement : le temps manquait.

Sa mort que la majorité avaient prévu la laisse aujourd'hui dans un état de solitude constant. Mais les personnes fortes et dissimulatrices survivaient toujours, à ce qu'on pouvait raconter... sans doute fait-elle partie de ces individus.

Purée Lucius tu m'avais caché une cousine aussi..
..
Bienvenue. I love you

Et bonne inspiration pour la suite de ta fiche !

Haha, Lucius tu dois être le seul loupé de la famille Laughing

Bienvenue à toi Livia cheers

Bienvenue à toi ! =D (Purée, Lucius, depuis quand tu as une cousine aussi bien roulé ? )

Han !
Ouais ben moi, Vesper, elle était moche.
Bienvenue !

La classe c'est de famille chez nous .

Bienvenue Very Happy

TROP PAS VESPER ELLE ÉTAIT..
Euh, je m'égare.

MOCHE oui.

Silence, hérétique !

Rab, personne ne voulait de toi, on avait pas le choix, on était obligé de te filer la Vesper !

[M'en fout de flooder

]

Bienvenue Livia !^^ Et surtout, n'écoute pas ce tas de mâles, à se disputer sur la notion de beauté... alors que rien que d'être une femme est beauté!

Invité

Quel accueil époustouflant, j'vous aime déjà hein. Razz

Être une femme, c'est être surpuissante.

Que c'est bien dit.

Bienvenue !

Invité

Je dis toujours des choses bien dites. rendeer

Ah, aussi désolée du léger dérangement si ça en cause mais ce serait possible de supprimer le "encore un" ? Finalement je prévois pas une longue fiche, ça sert à rien. XD

Voilà qui est fait très chère Wink

Ta fiche est-elle terminée ?

Bienvenuuuuuuuuue I love you

Euh, Vesper c'est la bouche de dieu d'abord.

Invité

Non, pas encore terminée mais presque. ^^

Eva Green est la plus belle des femmes... WYNDFOR, LIVIA ♠ L'intérêt est la règle de la prudence. 868451

... après la mienne, bien sûr.
Du reste, on comprend assez bien l'attrait des sorciers pour le Mal quand on en voit les représentantes. Bienvenue. Que tes liens de parenté avec Lulu ne te portent pas préjudice... c'est pas gagné quand c'est consanguin. Rolling Eyes

Invité

Eva Green c'est une déesse. WYNDFOR, LIVIA ♠ L'intérêt est la règle de la prudence. 868451

Sinon ma fiche est terminée. Pas super super mais... voilà. Les fiches & moi ça fait deux.

Roddylove il drague...

Alors, voyons ça.
La forme est bonne, rien à redire, mais il y a quelques erreurs sur le fond ; premièrement, Livia ne peut pas être mangemorte, pour la bonne et simple raison que les mangemorts sont tous des personnages prédéfinis et que si la cousine de Lucius l'avait été, cela aurait été précisé dans les postes vacants. Par conséquent, la scène que tu raconte avec le moment des sept Potter est illogique. Nous tenons à ce que les passages ayant eu lieu dans les livres ne soient pas modifiés, et il n'y est pas fait mention du couple Wyndfor. A ce propos, tu ne peux pas non plus inventer des familles de sang pur ; elles sont déjà toutes répertoriées dans les postes vacants. Il va falloir modifier ces choses pour être validée !

Rabastan Lestrange a écrit:: Roddylove il drague...

Roddylove il va encore s'en manger une. Heureusement qu'il y avait cette légère allusion à MOI.

Bienvenue très chère, je tombe d'accord avec mes pairs au demeurant, vous êtes.. hm.. jolie.

Invité

Pas de soucis pour les modifications. =)
Mais je pourrais avoir un délai supplémentaire allant de quelques jours à une semaine ? ^^

Bien sûr, prends ton temps Wink